Mes débuts avec mon maître

Catégories : Humour, FESSESTORY sexe, BDSM,libertin, ABDL, fessée
il y a 5 ans

Comme nous avons pris l'habitude, nous buvons ensemble un café avant le début des hostilités. Inutile de vous préciser que mon Maitre agrémente parfois mon breuvage de l'une de ses fioles. Il n'a pas perdu l'habitude de recueillir l'expulsion de ses masturbations hebdomadaires.

Nous discutons de tout et de rien puis soudain mon Maître change de ton:

  • Que préfères-tu? Te faire copieusement enculer ou avaler mon foutre?

  • Je, je ne sais pas...

Pas eu le temps d'aller plus loin dans ma réponse. Je me retrouve à plat ventre sur le sofa, la jupe retroussée. Jamais de petite culotte quand je le vois, une règle première. Ca et l'épilation de mon minou.

  • Puisque tu ne peux te décider je vais t'enculer et éjaculer dans ta bouche.

Joignant les gestes a ses paroles, il crache sur mon troufion pour l'humidifier et l'assouplit de deux doigts en rotation dessus.

J'écarte moi même les fesses, une autre de ses règles.

Sans beaucoup plus de préparations, Il présente son gland à l'entrée. Je me détends au maximum. Il pousse sa bite lentement. Je lâche une de mes fesses pour me titiller le clitoris, histoire d'aider à me relâcher.

Il me rappelle aussitôt à l'ordre d'une claque magistrale là ou aurait dû se trouver ma main.

Je serre les dents, expire une plainte. Ça y est, il est dedans jusqu'aux couilles.

Il me gratifie:

  • T'avoir imposé des entrainements quotidiens aux plugs a été plutôt une bonne idée.

Il bouge en moi par petits à-coups, le temps pour moi de m'habituer à l'épaisseur de son membre. Il entame un lent va et vient.

Les premiers mouvements furent pénibles mais maintenant je m'y suis faite. Il ne m'a avait jusqu'alors jamais sodomisé sans m'exciter avant.

Le plaisir monte. Il accélère la cadence. J'hoquète, je gémis. Il ne se contient plus et me défonce à coups de reins puissants. Je mords l'oreiller. Il me tire les cheveux en arrière. Je libère le coussin poussant de petits cris au rythme de ses coups de butoir.

  • Ouvre ta bouche en grand.

Comme pour m'y obliger, il me donne un grand coup de rein au fond.

  • Aahhhh!!!

Il ressort. Je me retourne. Son foutre se projette dans ma gueule béante. J'attends son ordre pour avaler. Encore une règle.

Il m'indique son accord d'un signe de tête.

Il retire ses chaussettes, les roule en boule. Il les a portées toute la journée. Il me les fourre à l'endroit même où il vient d'évacuer.

Elles ont le goût de leur odeur.

Il m'envoi ainsi devant le mur, les mains sur la tête les reins bien cambres.

Puis rien. Il se grille une cigarette, allume la télévision. Quel connard! Il préfère regarder des émissions plutôt que de s'occuper de moi. Si je suis venue, ce n'est pas pour me faire chier à regarder son crépi.

A la fin de son émission, il se lève. Je pense que c'est pour moi. Quelle erreur!

Il se dirige tout droit vers un meuble, sort un dvd. Il le glisse dans la fente du lecteur.

Et soudain j'entends les gémissements de jeunes femmes en chaleur.

Il se tape un porno. Je jette un coup d'oeil vers lui. Il est en train de se branler.

  • Le mur!

Mais je suis quoi pour lui? Comment peut-il se comporter ainsi? Je ne peux empêcher quelques larmes couler sur mes joues.

D'une voix calme et douce il me demande enfin de le rejoindre.

  • Tu dois comprendre que désobéir a une règle entraine des conséquences. Tu es ma soumise maintenant et tu dois te comporter comme tel. Est-ce que tu a saisi?

Je signe mon approbation de la tête.

Mille fois oui. Tout pour ne pas revivre ce mépris. Il tapote ses cuisses.

  • Viens ici.

Je m'allonge le ventre et les jambes sur le sofa, le cul sur ses genoux.

  • Pose tes mains derrière la tête. A aucun moment tu ne dois les retirer.

Il me donne la fessée. J'apprécie ce moment. La douleur se diffuse mais là au moins il s'occupe de moi. La main s'aplatit de plus en plus fort. Je résiste a la tentation de descendre mes bras.

Ma mâchoire se crispe. Les chaussettes étouffent mes cris. Puis soudain, il s arrête, me caresse le derrière. Ses phalanges viennent se loger à l'intérieur de mes cuisses, frottent ma vulve. Je sens la chaleur envahir mon bas ventre.

  • Je préfère m'occuper de toi. Mais si tu m'y obliges, je serai impitoyable.

Il me doigte, je couine. Son sexe se durcit sous moi.

  • Allez termine-toi par terre, comme une chienne.

Je m'exécute. Il sort son membre et le coulisse en me matant. Ca me rassure. Du coup j'accélère le mouvement et me contracte au final tandis qu'il m'asperge en éructant.

Et c'est à cet instant que je saisis. Il est bien plus dépendant de moi que je ne le suis de lui. Je suis nécessaire à la réalisation de ses pulsions.

D'une certaine façon, ses règles et ses punitions sont là pour rétablir l'équilibre.

Il m'attache physiquement pour reproduire dans le réel son attachement psychologiquement de par sa nature "sadique".

J' obéirai, pas parce qu'il m'y oblige mais parce qu'aujourd'hui je sais qu'il ne prendra pas le risque de casser son jouet fétiche, c'est sa manière de me montrer qu'il tient à moi. Et ma dévotion sera ma façon de lui prouver mon affection.

Les actions sont plus parlantes que les mots, surtout lorsque la bouche est déjà pleine.

Je m'approche de lui, à quatre pattes en le regardant droit dans les yeux. Il semble surpris de mon initiative. Une fois à ses pieds, je baisse la tête pour lui signifier ma soumission. Il me soulève le menton, il a compris. Je pose ma tête sur sa cuisse, il me caresse les cheveux. Un instant magique qui nous appartient, un instant qui grave notre relation dans le marbre.

Cette ressource n'a pas encore été commentée.
Publicité en cours de chargement